L’École Supérieure des Affaires (ESA) a tenu mardi, la 2e édition de sa rentrée solennelle. La conférence inaugurale a été présidée par le fondateur Charles Birregah. Elle a réuni des personnalités influentes du monde académique, des chefs d’entreprises et des autorités.
Le thème de cette année académique 2024-2025 est : « Enjeux et opportunités du changement climatique’’.
« Nous venons de faire la conférence de rentrée académique pour l’année académique 2024-2025. Et comme vous avez pu le constater le thème porte sur les enjeux et opportunités liés aux changements climatiques. A l’école supérieure des affaires nous sommes dans l’anticipation constante. Il s’agit d’offrir à la jeunesse togolaise et africaine des offres de formation qui ont un potentiel d’employabilité très forte » a déclaré Nicoué Broohm, le président du conseil scientifique de l’ESA.
Lors de la cérémonie d’ouverture, Charles Birregah, fondateur directeur général de l’ESA a annoncé l’ambition de l’école de développer des formations liées aux métiers du changement climatique.
« Nous allons en profiter pour former nos étudiants dans le domaine pour les aider à embrasser les filières ces filières innovantes qui débouchent sur du travail mais qui sont méconnues. Parce que nous voulons toujours que les étudiants puissent faire des filières qui débouchent sur des métiers qui ont beaucoup d’opportunités. Et nous rendons grâce à Dieu pour cette journée. ESA a démarré, nous avons beaucoup d’étudiants qui sont arrivés et nous incitons les autres qui sont à la maison aussi à venir. Et surtout chers parents, confiez-nous vos enfants. Aujourd’hui ESA est la meilleure école en termes de qualité aussi bien au Togo que dans la CEDEAO », a-t-il souligné.
Rentrée solennelle autour du climat
Kokou Kouami professeur titulaire en gestion des ressources naturelles et de l’environnement à l’Université de Lomé a développé le thème de la rentrée. Prof Kouami a détaillé dans son exposé les multiples opportunités offertes par le changement climatique.
« Nous devons réfléchir aux filières à proposer, notamment dans les énergies renouvelables, l’agriculture durable, la gestion environnementale ou encore la fiscalité verte », a-t-il déclaré.
Il a également évoqué des secteurs comme l’érosion côtière et la transition écologique, soulignant l’importance de former des professionnels capables de répondre à ces enjeux.
Pour rappel, l’Ecole supérieure des affaires propose plus de 33 filières de formation, dont 22 diplômes accrédités par le CAMES. L’année dernière, l’école a été honorée du prix de qualité de la CEDEAO, renforçant ainsi sa réputation dans l’enseignement supérieur en Afrique de l’Ouest.
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