Une délégation du Caucus des femmes parlementaires conduite par la présidente Méimounatou Ibrahima a tenu lundi à Atakpamé, une session de dissémination des dispositions du code des personnes et de la famille et du code pénal révisés. La session organisée avec l’appui technique et financier du PNUD a réuni plus de 200 participants.
Parmi les participants, on notait la présence des magistrats, des officiers de police judiciaire, des responsables religieux et associations, des chefs cantons, des femmes leaders et des revendeuses de la préfecture de l’Ogou.
L’objectif de la rencontre est d’amener les participants et particulièrement les femmes à se familiariser avec les dispositions du code des personnes et de la famille (CPF) et du code pénal révisé.
A terme, les participants devraient avoir une meilleure compréhension de ces textes en vue d’une pérennisation de la stabilité des ménages et d’une garantie de la paix sociale.
A l’occasion, il a été partagé avec les femmes l’esprit et la lettre de ces dispositions spécifiques afin de les soustraire de l’ignorance.
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Deux communications ont été faites lors de la rencontre. La première relative au code des personnes et de la famille présentée par Kobauyah Tamdja-Kpatcha et la deuxième sur le code pénal ainsi que la stratégie pour l’efficacité de jouissance des droits par les femmes, a été développée par Komla Deo Ahondo.
Méimounatou Ibrahima a déploré l’absence dans les instances de négociation et de prise de décision. Elle appelle les femmes à devenir responsables en tant qu’actrices de développement notamment en matière de prévention des conflits, de médiation et de résolution des conflits dont ceux à caractère sociale.
Avec Landrykoss