Les dernières nouvelles de l’examen du baccalauréat débuté en début de semaine ne sont pas du tout enviables. Alors qu’à l’intérieur du pays, on signale l’expulsion d’un surveillant par le chef centre, à Lomé c’est un embargo sur les calculatrices des candidats à l’heure de l’épreuve des mathématiques.
La mauvaise nouvelle du baccalauréat session 2016-2017 a commencé mardi à Niamtougou. Dans ce centre d’écrit, M. Komlan, a été chassé comme un pestiféré par un le Chef centre, un certain Adanou pour le fait qu’il serait en train de discuter avec les candidats.
« Au moment de la distribution des épreuves, des candidats signalent aux surveillants que l’épreuve n’avait pas été laissée à la place des absents. C’est à ce moment que le Chef salle M. Komlan répond aux candidats en disant à ceux-ci qu’il ne pouvait pas laisser l’épreuve en l’épreuve du candidat. C’est ce qui a fallu l’expulsion de ce dernier », relate un témoin.
A Lomé, c’est le centre d’écrit Trinité sis à Attiegou Togo 2000 qui fait couler d’encre et de salive. Là, certains candidats étaient contraints de composer dans les mathématiques sans leurs calculatrices.
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Il nous est rapporté qu’au cours de l’épreuve de mathématiques, les surveillants ont ramassé toutes les calculatrices de marque CASIO.
A la fin de l’épreuve, ces candidats, sur exigence du Chef centre, étaient obligés de signer chacun une note reconnaissant qu’ils ont eu à enfreindre à la loi de l’Office de baccalauréat.
De sources concordantes, le scénario a été identique dans presque tous les centres d’écrit sauf qu’à la différence près, il n’y a pas eu une note de reconnaissance de violation des textes du baccalauréat.
La calculatrice de marque CASIO serait compromettante selon les surveillants et contiendrait des fonctions programmées. Et c’est du nouveau apparemment.