Les rideaux sont tombés dimanche sur la 1ère édition de « Lomé Make Up Week ». Cet évènement inédit a regroupé des fabricants et distributeurs de produits cosmétiques, des acteurs majeurs, artistes et professionnels du make-up. Jean-Paul Agboh, Directeur de l’Agence Focus Yakou, organisatrice de ce salon, dresse un bilan satisfaisant et projette la 2e édition pour l’année prochaine.
Lomé Make Up Week a réuni la communauté de l’univers du maquillage dans un mélange de business, d’expertise, de formation et de loisir. L’initiative était placée sous le thème : « Make-Up : levier pour l’entreprenariat des jeunes et vivier d’emplois ».
L’évènement a attiré les maquilleurs/ maquilleuses les plus créatifs, les marques les plus plébiscitées et les plus en vogue, les producteurs et distributeurs les plus dynamiques, les investisseurs et les consommateurs. Une vingtaine d’entre ses acteurs ont exposé leurs produits de beauté dans le cadre de cette première édition de Lomé Make Up Week.
L’évènement promu par l’agence Focus Yakou vise à promouvoir la destination Togo en valorisant les talents locaux et l’expertise local. Il est également question de promouvoir l’entrepreneuriat, base du développement du pays.
« Le secteur de Make up constitue une tendance lourde. Il y a quelques années on n’en parlait pas. Aujourd’hui, beaucoup de milliers de nos frères et de nos sœurs surtout se sont inscrits dans ce secteur qui aspire à être davantage professionnalisé pour créer des richesses », a déclaré Jean-Paul Agbo-Ahouelete, Directeur de l’Agence Focus Yakou.
Lomé Make Up Week, une ambition sous-régionale
Lomé Make Up Week a permis aux participants de faire découvrir au grand public, leur savoir-faire dans le domaine de l’esthétique. Concrètement, il était question de faire découvrir leur créativité en tant que Make Up artiste et dévoiler leurs nouveaux ingrédients et leur dernière création.
La marraine de l’évènement appel à des actions pour que le secteur soit revalorisé. Pour elle, le Make up est un art, un métier qu’il faut mettre en valeur pour en faire la richesse du secteur de la beauté.
« Il faut que les acteurs de la profession prennent conscience qu’ils font partie du secteur de la beauté et qu’ils ont besoin de se professionnaliser, de se former pour faire entendre leurs voix », a déclaré Krystel Dicoh.
Cette première édition arrange une 2e édition. Et Mme Dicoh souhaite avoir plus de professionnels sur la prochaine édition de Lomé Make Up Week. Elle ambitionne de voir la prochaine édition être un salon de beauté sous-régional.