Le Centre médico-social (CMS) d’Amou-Oblo entame une rénovation d’envergure. Vendredi 27 décembre 2024, le député-maire Meyebine-Esso Gnassingbé, accompagné des autorités locales et de l’administration de l’hôpital, a posé la première pierre des travaux. A terme, les infrastructures sanitaires de cette commune seront améliorer pour de meilleurs soins aux populations.
Cette rénovation s’inscrit dans le cadre du projet d’accès universel aux soins de santé sexuelle et reproductive, financé par la Fondation Susan Thompson Buffett. Basée à Omaha, dans le Nebraska, cette organisation philanthropique de renommée mondiale soutient les initiatives en faveur de la santé sexuelle et reproductive.
Placé sous l’égide du chef de l’État, Faure Gnassingbé, ce projet vise à étendre les infrastructures sanitaires dans tout le pays. À Amou-Oblo, il comprend la construction de quatre ouvrages principaux. Il s’agit d’un bâtiment regroupant la maternité et les services médicaux. Ensuite, il est prévu des aménagements pour faciliter l’accès et la mobilité, conformément aux normes sanitaires. Il y aura un nouvel incinérateur pour l’élimination sécurisée des déchets médicaux. Enfin, il y aura une clôture avec une entrée principale pour sécuriser le site.
Un nouveau visage pour le CMS d’Amou-Oblo
Les travaux aborderont également les questions essentielles d’accès à l’eau et à l’énergie, garantissant un environnement fonctionnel et moderne pour les soins.
Pour la commune d’Amou-Oblo, ce chantier représente une avancée significative dans l’amélioration de l’accès des populations locales à des soins de qualité. Selon le député-maire Meyebine-Esso Gnassingbé, cette initiative s’aligne sur les précédents projets réalisés sous l’impulsion de l’État, renforçant ainsi l’engagement pour le bien-être des Togolais.
« Nous nous réjouissons du lancement de ces travaux. Comme les précédentes initiatives, ils prouvent que des choses sont en train d’être faites dans le bon sens », a-t-il déclaré.
L’entreprise Belt Sarl, chargée de l’exécution des travaux, prévoit une durée de réalisation de quatre mois. Une fois terminées, ces infrastructures modernisées viendront compléter d’autres projets récents, notamment l’hôpital mère-enfant dont l’inauguration est prévue dans les prochaines semaines.
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