Suivant une plainte du député Séna Alipui, le militant de l’Union des forces de changement (UFC) Timothée AYEKOMON s’est présenté lundi au Commissariat du 1er arrondissement de Lomé. Le Président du groupe parlementaire UFC et d’autres militants reprochent à M. Ayekomon de les avoir diffamés dans sa lettre ouverte adressée au président du parti, Gilchrist Olympio. Aux dernières nouvelles, une entente a été trouvée.
A l’UFC, des sages tentent de sauver les meubles. Lundi, une entente a été trouvée entre les protagonistes dans affaire de diffamation qui secoue le parti depuis la publication d’une lettre ouverte écrite par Timothée Ayekomon et adressée à Gilchrist Olympio.
Mais avant, l’opposant Ayekomon convoqué au commissariat du 1er arrondissement de Lomé suivant une plainte du député Séna Alipui n’a pas manqué le rendez-vous.
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C’est à la suite de cette rencontre que les responsables de l’UFC ont convenu de commun accord un règlement à l’amiable de l’affaire.
Des suites de cette conciliation, nous apprenons que Timothée Ayekomon a présenté des excuses à ses camarades qui se sont sentis diffamés. Aux rangs de ceux-ci, Sena Alipui, Elliot Ohin, Christelle Petit, François Locadi.
M. Ayekomon a ainsi rétracté les accusations jugées infondées à l’encontre de ses camarades à qui il aurait également « présenter des excuses pour les désagréments et les blessures occasionnés par ses propos ».
Dans sa lettre ouverte à Gilchirst Olympio, le militant Ayekomon a dénoncé plusieurs pratiques dont la falsification de signature, le faux et usage de faux, les négociations de postes de député, la moralité douteuse, la gestion opaque, l’illégalité et l’illégitimité, notamment. Des accusations qu’il a retiré que la famille « UFC reste une et indivisible ».
Ce règlement à l’amiable aura permis d’empêcher un procès dans une affaire interne à un parti politique et qui devrait être réglée par les instances du parti.
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