L’affaire Josiane continue d’émouvoir plus d’un. La Commission nationale des droits de l’homme (CNDH) appelle à l’application juste et rigoureuse de la loi au présumé auteur du viol commis sur Josiane. Pour la CNDH, les violences sexuelles exercées sur cette petite de 9 ans choque la conscience collective.
Dans un communiqué, la CNDH informe avoir appris avec consternation sur les réseaux sociaux le décès d’une petite fille de 9 ans prénommée Josiane des suites de violences sexuelles. Des violences qu’aurait exercées sur elle, un voisin de quartier, un homme âgé de 47 ans.
A la suite de ce drame, une délégation de la CNDH conduite par son président a rendu visite à la famille pour s’enquérir de la réalité des faits. Les informations recueillies sur place confirment le décès de la petite fille dans des circonstances atroces en cours d’élucidation.
Les forces de l’ordre ont interpellé le suspect. Les investigations suivent leur cours dans ce qu’il est convenu de dénommer l’affaire Josiane.
Décourager d’autres violeurs avec l’affaire Josiane
La CNDH condamne un acte ignoble qui choque la conscience collective. Dans cette affaire Josiane, elle souhaite une application stricte des textes en vigueur pour décourager quiconque.
« La CNDH présente ses sincères condoléances à la famille éplorée en appelle à une application juste et rigoureuse de la loi afin de dissuader et prévenir de tels agissements et invite les parents à plus de vigilance et d’encadrement en ces temps de vacances scolaires », a signé Yaovi Sronvi, le président par intérim de la CNDH.
Par ailleurs, cette institution de la République Togolaise exhorte tous les acteurs du domaine de l’enfance et la population en général à accompagner le gouvernement dans