Le ministre de la fonction publique, du travail et du dialogue social vient de coller une mise à pied à 12 autres enseignants. Gilbert Bawara accuse ses sympathisants du Syndicat des enseignants du Togo (SET) encore en formalisation.
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12 enseignants togolais se sont vus infligés une mise à pied privative de rémunération à l’exception des allocations familiales.
Sur la liste des concernés se trouvent Kossivi Alakou, Etsè Yaovi Amaglo, Arouna Awadi, Tsogbalé Komlan Degbevi, Yao Selom Gbemou, Kossi Gnama, Tchapou Kpandjale, Tsevi Mokli, Pierre Etsèvi Naneh, Tigramane Assih Samlawa, Komi Tchohlo et Kodzo Séna Tsonya.
Ces enseignants sont accusés d’avoir diffusé de fausses informations sur les médias et les réseaux sociaux.
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Le ministre Gilbert Bawara leur reproche en outre d’avoir appelé à la cessation d’activités en charge des enseignements primaire, secondaire, technique et de l’artisanat en violation des règles d’éthique et de déontologie de la fonction publique.
« A l’avenir chaque infraction aux règles, principes et valeurs de la fonction publique fera l’objet d’une mesure disciplinaire appropriée… », a soufflé Gilbert Bawara.
Il y a quelques semaines, M. Bawara a infligé la même sanction à Bouraïma Naboudja. Une sanction qui a suscité d’interminables débats.
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