Edem Tengue, le ministre togolais de l’économie maritime, de la pêche et de la protection côtière a rencontré mardi des représentants des pays de l’hinterland. On notait la paricipation des pays comme le Burkina-Faso, le Mali et le Niger. La rencontre s’inscrit dans la continuité de l’opérationnalisation du port sec d’Adétikopé.
Les échanges entre le ministre et ses interlocuteurs ont permis aux représentants des différents pays de l’hinterland d’être au même niveau d’information en ce qui concerne les procédures de transfert du port maritime au port sec de la PIA.
La rencontre a permis de présenter via une vidéo aux participants la nouvelle procédure de transfert des conteneurs.
L’idée est d’adopter une bonne coordination des actions des différents acteurs pour améliorer les processus de transfert.
Edem Tengue revient sur les atout du port sec
A l’occasion, les participants ont été sensibilisés sur les atouts du port sec. Il s’agit notamment de la célérité des opérations, le rapprochement des conteneurs en transit des pays de l’hinterland, la centralisation des formalités pour les conteneurs en transit avec le guichet unique de la PIA.
Parmi les atouts, on note également la réduction des coûts cachés (stationnement, surestaries), la réduction du temps de transit (- 2 à 3h) et de la distance pour les pays de l’Hinterland. Le ministre a signifié aussi l’installation sécurisée, améliorée et sans tracasserie.
A noter que le port franc d’Adétikopé tient sur une étendue de 20,25 hectares pour une capacité de 12.500 conteneurs simultanément.