L’École Supérieure des Affaires (ESA) a lancé la première édition de sa rentrée solennelle pour l’année académique 2023-2024. Cette cérémonie mémorable a été présidée par son fondateur, le Dr Charles Birregah. Elle a rassemblé un groupe de personnalités du monde de l’enseignement supérieur, des universitaires, des partenaires universitaires et financiers, des chefs d’entreprises, ainsi que des autorités. Cette université privée ambitionne de rivaliser avec les meilleures universités de renommée mondiale.
Le thème choisi pour cette rentrée solennelle est : « Innovation et Digitalisation dans l’enseignement supérieur ».
Rentrée solennelle sous le signe de la digitalisation
Le Professeur Octave Nicoué Broohm, président du conseil scientifique de l’ESA a rappelé la vision de l’établissement.
« L’ESA, veut par tout ce qu’elle met en œuvre, croître les compétences numériques des étudiants et faire en sorte que la digitalisation de ses processus de management et de la formation soit au rendez-vous. Parce que c’est l’actualité aujourd’hui, et ce sera encore plus l’actualité demain », a-t-il déclaré.
Des conférences informatives ont enrichi cette journée de rentrée solennelle. Le Prof Michel Dossou, conseiller technique aux Technologies de l’Information et de la Communication du Recteur de l’Université d’Abomey-Calavi au Bénin, a présenté la leçon inaugurale intitulée « Importance de la digitalisation dans l’enseignement supérieur ».
Dans son développement, il a souligné l’importance de la digitalisation pour l’enseignement supérieur, permettant la réduction des tâches administratives tout en ajoutant de la valeur à la société. Il a également mentionné les défis liés à la stabilité énergétique, à la formation des enseignants et à l’accréditation des formations en ligne, saluant les efforts de l’ESA pour une digitalisation efficace.
Le Prof Tsotso Kouevi, agrégé en Sciences de Gestion et enseignant à l’Université de Lomé, a abordé la problématique de la recherche dans l’enseignement supérieur privé, tandis que le Professeur Kokou Awokou, enseignant-chercheur à l’Université de Lomé, a discuté des défis et enjeux de l’intelligence artificielle dans l’enseignement supérieur.
ESA engagée pour la digitalisation
Le Dr Charles Birregah, fondateur de l’ESA a souligné l’engagement de l’établissement en faveur de la digitalisation.
« A l’ESA, nous avons pris de l’avance et nous sommes les premiers à digitaliser nos processus, notamment les cours en ligne. Aujourd’hui, nous avons plus de 1000 étudiants qui étudient dans le monde entier. Dans un souci de répondre à la massification de l’enseignement supérieur au Togo, l’ESA aspire à atteindre 200 000 étudiants au cours des 4 prochaines années », a-t-il exprimé.
La vision du Dr Charles Birregah est de faire de son institution « le Harvard de l’Afrique », une référence nationale supérieure en Afrique, reconnue dans les classements des grandes universités mondiales.
La rentrée solennelle a également été marquée par la remise d’attestations à une trentaine d’étudiants de l’ESA. Ceux-ci ont effectué des stages pratiques à l’École Polytechnique de l’Université d’Abomey-Calavi au Bénin. Leur formation a été enrichie dans des domaines tels que le Génie Civil, les Réseaux-Télécommunications, la Sécurité Informatique, la Cybersécurité et la Cybercriminalité.
Pour rappel, l’ESA propose des formations en Licence et Master professionnel dans plus de 33 filières, dont 22 diplômes (10 Masters et 12 Licences) sont accrédités par le CAMES. En reconnaissance de sa qualité, l’ESA a reçu le prix de qualité de la CEDEAO cette année, consolidant ainsi sa notoriété sans précédent.