Un épouvantable accident a eu lieu dans la nuit du 15 au 16 septembre 2024, sur la Route Nationale n°1, à la sortie sud de Gléi, dans la zone d’Adanka, non loin d’Atakpamé. Aux environs de 23 heures, un bus de la société de transport SOLIM, transportant une soixantaine de passagers, est entré en collision frontale avec un camion. L’impact, d’une violence inouïe, a transformé le bus en un amas de métal tordu, coincé contre le camion.
Les détails précis de l’accident restent à confirmer, mais les hypothèses vont de l’excès de vitesse à la fatigue des conducteurs, en passant par une visibilité réduite. La Route Nationale n°1, tristement célèbre pour sa dangerosité, a encore une fois prouvé son caractère impitoyable.
Le bilan du drame est lourd. On déplore des dizaines de blessés et autour d’une dizaine de morts, d’après plusieurs témoins.
Les secours, confrontés à un tableau de dévastation, s’efforcent de sauver les survivants et de récupérer les corps des victimes. La société SOLIM, bouleversée, a exprimé ses condoléances et promet de fournir davantage d’informations dès que possible.
L’accident de trop à Atakpamé ?
Malgré les nombreuses campagnes de sensibilisation et les efforts des autorités, cette artère vitale du Togo continue d’engendrer des drames, faisant payer un lourd tribut en vies humaines chaque année.
En attendant un communiqué officiel des autorités locales, la nation entière est plongée dans le chagrin, alors que les familles des victimes attendent anxieusement des nouvelles de leurs proches.
Cette tragédie, un triste rappel de la fragilité de la vie sur les routes du Togo, appelle à une réflexion urgente sur les mesures de sécurité routière. Le pays, en deuil, se retrouve une fois de plus confronté à la dure réalité de ses routes meurtrières.
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