Women Entrepreneurship for South East Africa Solutions poursuit sa campagne de dissémination et d’information pour une large connaissance de Women Entrepreneurship for Africa, un programme de la Fondation Tony Elumelu. L’agence a sensibilisé mercredi des femmes togolaises qui exercent dans l’entrepreneuriat vert. Avec le concours d’un alumni, les doutes qui persistent chez les candidates ont été dissipés.
Women Entrepreneurship for Africa est un programme de la Fondation Tony Elumelu. Après la phase pilote l’année dernière, le programme est ouvert cette année à tous les pays africains.
Le programme offre une subvention de 5.000 dollars à 1.000 femmes africaines qui sont dans l’entrepreneuriat vert.
Le programme Women Entrepreneurship for Africa
A l’agence Women Entrepreneurship for South East Africa Solutions (FSA-Solutions) mis en jeu par la Fondation Tony Elumelu, on s’est fixé pour objectif d’amener les candidates à connaître d’abord le programme ensuite à les aider à postuler.
Depuis début mars, une campagne de communication sur ce programme au plan national a été lancée. Elle se matérialise par la diffusion des sports, la présence remarquable sur les réseaux sociaux et des articles dans les presses notamment.
« Nous n’avons pas eu l’impression que l’information a atteint totalement sa cible. C’est pour ça que ce soir, nous avons identifié des femmes qui sont déjà dans l’entrepreneuriat vert et pour qui nous pensons que cette information sera utile. Nous les avons regroupées pour les sensibiliser et répondre directement aux difficultés qu’elles rencontrent déjà en essayant de postuler », a détaillé Alphonse Ken, manager de l’agence.
Avec l’aide d’un alumni, quelqu’un qui a déjà bénéficié d’une subvention de la Fondation Tony Elumelou, FSA-Solutions a mieux expliqué aux candidates des difficultés éventuelles qui peuvent se présenter en postulant.
« Nous espérons, et c’est notre souhait le plus absolu que quand on va donner la liste de 5000 femmes africaines qui ont bénéficié cette année de ces 5000 dollars pour renforcer leur inclusion financière et leurs activités économiques, qu’il y ait beaucoup de femmes. Je ne vais pas donner de nombres, mais qu’on cite également beaucoup de femmes togolaises comme étant bénéficiaires de ces fonds », a extériorisé M. Logo.
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