Un crime rituel a secoué le village de Doko Nanonmè dans la commune de Toviklin ce mercredi. L’alerte a été donnée par une odeur nauséabonde émanant de la maison d’un prêtre vodun, où le corps sans vie d’un jeune de 11 ans a été retrouvé. Selon les informations, la victime avait disparu depuis le lundi 27 mai, et a été retrouvée égorgée et découpée sur un autel vodun.
À cet effet, les habitants du quartier ont défoncé la porte du domicile du féticheur. Stupéfaction ! C’était le corps du jeune garçon en état de putréfaction qui dégageait l’odeur nauséabonde. Le petit garçon, égorgé et découpé, avait été sacrifié au fétiche.
Un crime rituel inacceptable
Témoin de ce tragique événement, la population a immédiatement accusé le prêtre d’être responsable de cet acte barbare. En proie à une vive émotion, les habitants se sont violemment attaqués au vodunon, lui infligeant de graves coups. Ils étaient déterminés à lui faire payer son crime rituel.
Intervenant à temps, les forces de l’ordre ont réussi à extraire le suspect de la foule en colère et l’ont conduit à l’hôpital en raison de ses blessures sérieuses. Pendant ce temps, la communauté, en état de choc, tente de comprendre l’inexplicable.
Les autorités locales ont lancé une enquête pour faire la lumière sur cette affaire sordide, cherchant à déterminer les motivations et les circonstances exactes de ce crime odieux.
Le prêtre vodun, connu dans la région pour ses pratiques religieuses, est désormais au cœur d’une enquête criminelle.
Pélagie ASSAGBAVI (Stagiaire)
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