Il n’est plus actif politiquement depuis sa dernière sortie à l’occasion de laquelle il a appelé son partenaire Faure Gnassingbé à admettre l’idée « de ne plus briguer un autre mandat à la tête du Togo 2020« . Néanmoins Gilchrist Olympio suit l’évolution de la crise politique togolaise et ne compte pas rester en marge de sa résolution. Son parti l’Union des forces du changement (UFC) a rejoint la Commission électorale nationale indépendante (CENI) et compte également participer au dialogue sensé s’ouvrir à Lomé dans deux jours.
L’Union des forces de changement se félicite de l’ouverture prochaine du dialogue politique en vue de trouver une solution aux problèmes politiques qui minent le vivre ensemble, en particulier les réformes constitutionnelles et institutionnelles.
Dans un communiqué publié lundi, le parti de Gilchrist Olympio a appelé les acteurs politiques togolais à accélérer l’agenda des réformes convenues dans l’accord RPT/Unir-UFC.
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« L’UFC lance un appel solennel à tous les acteurs politiques Togolais afin qu’ils fassent preuve de courage pour réaliser une entente politique historique dont l’enjeu est une Nation Togolaise réconciliée et tournée vers des tâches de réduction de la misère, de la pauvreté et du développement économique », lit-on dans la note signée par Brim Bouraima-Diabacté, le Vice-président du parti.
Dans ce sens, l’UFC invite les parties prenantes à œuvrer pour que les pourparlers soient inclusifs, constructifs, francs et sincères.
Ainsi, le parti de Gilchrist Olympio réaffirme-t-il sa disponibilité à œuvrer dans le cadre du dialogue du 15 février pour la résolution définitive de la crise politique togolaise. Il souhaite que les intérêts supérieurs de la Nation Togolaise soient la priorité de tous les participants aux discussions.