Le Chef d’État-major, le Général Dimini Allahare, vient d’exprimer une ferme détermination à éradiquer le phénomène préoccupant des extorsions au sein des militaires. Sa déclaration fait écho à une nécessité urgente, celle de restaurer la confiance entre l’armée et la population civile.
Dans une note officielle, le général a pointé du doigt le comportement inacceptable de certains membres des forces de défense, qui continuent à racketter les citoyens, souvent à des points de contrôle et postes de sécurité.
Malgré des efforts continus de sensibilisation, ce fléau persiste et ternit l’image des FAT, mettant en péril la cohésion indispensable entre l’armée et la nation. Une cohésion cruciale dans le contexte actuel de lutte contre le terrorisme.
« Ces comportements déshonorent nos forces et sapent la confiance de la population. L’extorsion est non seulement contraire à l’éthique militaire, mais également passible de sanctions sévères conformément au code de justice militaire », a rappelé le général Dimini Allahare.
Dimini Allahare engage les chefs corps…
Dans un élan de responsabilité collective, il a exhorté les chefs d’état-major, les directeurs de la gendarmerie et les commandants de formations militaires à veiller à l’application stricte de cette directive.
Cette volonté de tolérance zéro vise à assurer que chaque militaire qui enfreint la loi fasse face à des conséquences appropriées. L’appel du général Allahare ne se limite pas à une simple déclaration. C’est un cri de ralliement pour une armée plus intègre, où le respect des droits des citoyens devient une priorité.
La lutte contre le racket représente donc une question de discipline militaire, ainsi qu’un engagement à bâtir un avenir où les forces armées sont perçues comme des protectrices de la paix et de la sécurité.
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